Génèse
Le 28 Juin 2022, Radi Almamoun, Directeur général, a informé les représentants syndicaux des difficultés économiques que traversaient la société. Le lendemain, Radi Almamoun s’est envolé pour le Soudan. Le but de son déplacement au siège était de plaider en faveur de ses employés. Le 18 Juillet, il annonce la possibilité d’un licenciement économique et ouvre des discussions pour une recherche de solutions alternatives, tel que prévu par l’article L. 61 du code du travail sénégalais. Radi Almamoun s’est voulu rassurant et à l’écoute en consultant.
Contre toute attente, le 20 Juillet, en pleine réunion stratégique avec le département commercial, plus de 40 personnes font irruption dans le bureau du DG en proférant des injures. Pancartes à la main, ils ont défié son autorité et ainsi tenté de l’intimider en l’encerclant et en scandant des menaces.
Une situation inédite et ingérable qui s’est produite malgré l’intervention des services de sécurité, impuissants devant ce déferlement de personnes. Ces comportements sont d’autant plus incompréhensibles que le licenciement économique n’était qu’une perspective en attendant le retour de propositions des représentants syndicaux.
Après la consternation, la direction d’Expresso a fait constater par huissier les voies de fait résultants de l’intrusion dans le bureau du Directeur général, avant de déclencher un processus de licenciement individuel pour faute lourde.
Expresso ne paie pas 126 salaires mais plus de 250
Contrairement aux allégations des représentants syndicaux, il n’y a que 7 employés soudanais à Expresso sur une masse salariale de 600 personnes, dont 250 directs. Plus de 98% sont des employés sénégalais. Malgré leurs statut d’expatriés, les employés soudanais sont alignés sur les moyennes du marché mais comme tout expatrié travaillant dans une multinationale, ils perçoivent des avantages sociaux. Pour rappel, au moment où beaucoup d’entreprises licenciaient lors de la crise sanitaire, la direction décidait de soutenir ses employés en augmentant leurs salaires malgré une baisse de 40% des revenus de l’entreprise.
Expresso est une société cotée en bourse.
Face aux accusations de non-divulgation des résultats de l’entreprise, il convient de rappeler qu’Expresso est une filiale de du groupe Sudatel coté à la bourse d’Abu Dhabi. Par conséquent, tous ses états financiers sont consultables par tous.
Par souci de transparence, Expresso Sénégal souhaite lever le voile sur ces accusations fallacieuses et se réserve le droit d’engager les actions judiciaires appropriées contre toute personne ou organisme qui tenterait de diffamer ou porter atteinte à son intégrité.
Une situation inédite et ingérable qui s’est produite malgré l’intervention des services de sécurité, impuissants devant ce déferlement de personnes. Ces comportements sont d’autant plus incompréhensibles que le licenciement économique n’était qu’une perspective en attendant le retour de propositions des représentants syndicaux.
Après la consternation, la direction d’Expresso a fait constater par huissier les voies de fait résultants de l’intrusion dans le bureau du Directeur général, avant de déclencher un processus de licenciement individuel pour faute lourde.
Expresso ne paie pas 126 salaires mais plus de 250
Contrairement aux allégations des représentants syndicaux, il n’y a que 7 employés soudanais à Expresso sur une masse salariale de 600 personnes, dont 250 directs. Plus de 98% sont des employés sénégalais. Malgré leurs statuts d’expatriés, les employés soudanais sont alignés sur les moyennes du marché mais comme tout expatrié travaillant dans une multinationale, ils perçoivent des avantages sociaux. Pour rappel, au moment où beaucoup d’entreprises licenciaient lors de la crise sanitaire, la direction décidait de soutenir ses employés en augmentant leurs salaires malgré une baisse de 40% des revenus de l’entreprise.
SN/YD